Le Parti communiste chinois a détruit les preuves reliant l’Institut de virologie de Wuhan au Covid-19

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La parade consiste à supprimer toute trace de preuve reliant l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) au coronavirus de Wuhan (COVID-19). Et le Parti communiste chinois (PCC) semble faire le plus gros du travail en dissimulant et en détruisant les preuves afin que le monde n’apprenne jamais la vérité, ou du moins ne puisse pas la prouver.

 

Le PCC est clairement engagé dans une campagne de blanchiment massive qui vise à dissimuler le fait que l’Institut de virologie de Wuhan avait étudié la transmission de l’animal à l’homme des coronavirus des chauves-souris avant la pandémie mondiale. Ceux qui ont été poussés à le faire ont également modifié les bases de données, détruit des échantillons de virus et répandu des mensonges et de la propagande pour essayer de garder le secret.

Selon Miranda Devine, du New York Post, citant un analyste des services de renseignement du Royaume-Uni (RU) qui aurait découvert le virus par des méthodes open-sources, les responsables du sommet de la chaîne alimentaire de l’Institut de virologie de Wuhan ont fait des heures supplémentaires en secret pour écarter le plus possible les preuves vers les installations de recherche du coronavirus de Wuhan (COVID-19).

«Quelques jours avant que le marché de Wuhan ne soit nettoyé, que les dénonciateurs ne soient punis et que les échantillons de virus ne soient détruits, quelqu’un de l’Institut de virologie de Wuhan de haute sécurité a censuré sa base de données de virus dans une tentative apparente de dissocier le laboratoire d’une nouvelle épidémie de coronavirus qui allait devenir une pandémie mondiale», écrit-elle.

Ces altérations se seraient produites deux jours seulement avant qu’un laboratoire de séquençage de gènes n’ait reçu l’ordre de la Commission médicale et sanitaire de la province de Hubei, où se trouve Wuhan, de détruire des échantillons du coronavirus de Wuhan (COVID-19) et de ne pas divulguer au public toutes les informations le concernant.

Ces altérations étaient «substantielles», selon les médias, et elles sont survenues un jour avant que le Parti communiste chinois ne notifie à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) une épidémie impliquant un groupe de cas de pneumonie à Wuhan. Et nulle autre que Shi Zhengli, la «batwoman» qui était directement impliquée dans ces expériences, a été identifiée comme le principal contact pour cette base de données maintenant modifiée.

 

Qui efface une base de données immédiatement après l’annonce d’une épidémie, à part les criminels qui essaient de détruire des preuves ? 

Il s’avère que Zhengli travaillait sur des coronavirus dits «chimériques», capables d’infecter aussi bien les animaux que les humains. Elle était censée assister à une conférence à Shanghai lorsqu’elle a été rappelée à Wuhan pour s’occuper de l’épidémie de pneumonie, et apparemment aussi pour effacer de la base de données de l’établissement toutes les preuves la reliant au coronavirus de Wuhan (COVID-19).

«La plupart des changements ont consisté à supprimer les mots clés faune ou animaux sauvages», explique Mme Devine dans son rapport. «C’est important car les chercheurs en santé mondiale disent que le virus est passé des chauves-souris aux humains par l’intermédiaire d’un autre animal sauvage – le « chaînon manquant » crucial de la chaîne de transmission du COVID-19».

Avant cela, Zhengli s’était d’ailleurs vantée du caractère «unique» de sa base de données, car elle contenait des données sur des variantes du virus trouvées chez d’autres animaux sauvages. Et il semblerait que ce soit la raison pour laquelle sa base de données a dû être effacée et les preuves détruites, car elle implique l’Institut de virologie de Wuhan dans le déclenchement du coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans le monde.

«Il semble qu’il s’agisse d’un effort précipité et incohérent pour séparer le projet de l’épidémie en le rebaptisant», aurait déclaré la source de renseignements britannique qui a parlé à Devine. «C’est une chose étrange à faire quelques heures APRES avoir été informé d’une nouvelle épidémie de coronavirus.»

 

«Si l’Institut de virologie de Wuhan avait trouvé le lien manquant entre le virus de la chauve-souris RaTG13 et le SRAS-CoV-2 [le coronavirus qui cause le COVID-19] à partir d’un vecteur animal, il aurait été dans la base de données de Shi», ajoute cette même source.

 

 

Source : https://www.naturalnews.com/2020-05-13-chinese-communist-party-destroyed-evidence-linking-wuhan-institute-virology-coronavirus.htmlhttps://nypost.com/2020/05/06/what-is-china-covering-up-about-the-coronavirus-devine/https://www.zerohedge.com/health/database-wuhans-batwoman-altered-48-hours-covid-19-samples-ordered-destroyed

Traduction : ExoPortail


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