L’agent jésuite Steve Bannon proclame «l’État fédéral de la Nouvelle Chine»

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Le 4 juin 2020, un mouvement séparatiste chinois avait proclamé la formation d’un nouveau pays qui entend remplacer le Parti communiste chinois comme gouvernement légitime de la Chine.

 

Vidéo en Anglais :

Selon le PDF «Déclaration» obtenu sur le site web de Gnews (https://gnews.org/zh-hans/221944/), les parrains et les auteurs de la Déclaration, comprennent les «sympathisants mondiaux du mouvement des lanceurs d’alertes»,

  • The Himalaya Supervisory Organization Président de la Fondation pour l’État de droit – M. Kyle Bass,
  • Président de la Société pour l’État de droit – M. Stephen K. Bannon,
  • Leader du Mouvement des dénonciateurs et fondateur de la Fondation pour l’État de droit et de la Société pour l’État de droit, M. Miles Guo (Guo, Wengui).

En outre, ils ont annoncé la formation d’une organisation non gouvernementale (ONG) appelée «Himalaya Supervisory Organization», qui est censée «servir de pont de communication entre le nouvel État fédéral de Chine et les communautés internationales dans les domaines de la coopération, de la défense de la liberté des peuples et de la protection de la sécurité des biens sur la base d’un développement commun et du respect mutuel entre les peuples du monde entier».

Miles Guo est un milliardaire chinois qui a célèbremment fui la Chine en 2014 après avoir découvert qu’il était sur le point d’être arrêté pour de multiples accusations (on ignore si les accusations présumées sont légitimes). Il était auparavant le 73e homme le plus riche de Chine et était sur la sellette du gouvernement chinois depuis quelques années, alors qu’il rendait publics de multiples documents «de niveau national», qui détaillent des plans d’espionnage contre les États-Unis d’Amérique – une accusation que le gouvernement chinois nie comme étant des faux. (https://en.wikipedia.org/wiki/Guo_Wengui)

Hao Haidong est une ancienne star du football chinois (https://en.wikipedia.org/wiki/Hao_Haidong), qui a joué plus de 100 fois pour l’équipe nationale chinoise et qui détient le record du plus grand nombre de buts marqués dans la Super League chinoise. Il est largement considéré comme le meilleur buteur chinois de ces deux dernières décennies. En tant que tel, Hao Haidong est une personne extrêmement en vue, et il est très important de le noter dans la crédibilité de ce mouvement et de cette déclaration. Nous pouvons également être sûrs qu’il ne peut plus retourner en Chine sans être arrêté. Cette rébellion est rejointe par sa femme, Ye Zhaoying (叶钊颖), qui est également très en vue, puisqu’elle est l’ancienne championne du monde et la tête de série numéro 1 du Batminton (https://en.wikipedia.org/wiki/Ye_Zhaoying)

Steve Bannon nécessite peu de présentation. Il était l’ancien stratège en chef de l’administration Trump à la Maison-Blanche et on lui attribue largement le mérite d’avoir fait rebondir la campagne présidentielle de Trump lorsque celle-ci s’essoufflait. Depuis, Steve Bannon s’est employé à soutenir les mouvements populistes-nationalistes à travers l’Europe. L’ancien président exécutif de Breitbart avait été très étroitement associé à Miles Kwok au cours des deux dernières années, apparaissant sur de nombreux flux de langue chinoise de Miles Kwok, qui se concentraient sur les protestations et les émeutes de Hong Kong de 2019.

( Note ExoPortail : Steve Bannon est un agent Jésuite, diplômé de l’université de Georgetown qui la plus grosse université Jésuite qui a formé les plus grands pions de la Cabale. Hong Kong étant le QG chinois des Rothschild depuis qu’ils ont considérablement renforcé leur influence sur la Chine en remportant la guerre de l’Opium au 19éme siècle. Les Rothschild étant alliés des Jésuites et de la Noblesse Noire en occupant principalement le post de banquier en chef pour eux. )

Et Kyle Bass est un éminent fondateur de fonds et directeur de Hayman Capital Management. Il s’est fait connaître en prédisant la crise des subprimes et en en tirant profit. Son fonds a étudié la Chine de très près et a conclu que l’économie chinoise est fortement surendettée, que les rapports financiers sont douteux et qu’elle a du mal à se maintenir à flot. Son fonds a suivi le pari d’un effondrement bancaire chinois qui ne s’est pas produit (ou peut-être que le gouvernement chinois a fait un très bon travail pour l’atténuer), qu’il a finalement retiré de la position début 2019 après le renforcement du Yuan. (https://en.wikipedia.org/wiki/Kyle_Bass)

D’après ce que j’ai compris personnellement, les trois (Kyle Bass, Miles Kwok et Steve Bannon) étaient devenus des amis très proches dans leur dénonciation commune du Parti communiste chinois, et étaient apparus dans leurs émissions/interviews respectives pour discuter des développements en Chine.

Le drapeau de l’État fédéral de Chine

 

( Note ExoPortail : Drapeau non sans similitudes avec l’union européenne qui est une création Jésuite : https://www.djeppink.eu/en/blog/we-are-all-jesuits )

 

Il est impossible de comprendre le sérieux de cette déclaration/proclamation et de ce «groupe de rebelles». Car provisoirement, elle n’est pas très différente de toute proclamation d’indépendance de tout groupement séparatiste, des Philippines au Myanmar ou en Europe, ou n’importe où dans le monde. Tous ont un drapeau, une déclaration et des partisans qui sont prêts à se battre pour leur vision.

Mais ce qui les distingue de tous les mouvements sécessionnistes ou indépendantistes dans le monde, c’est la grande visibilité des personnes impliquées dans ce mouvement particulier. Tous les quatre (les trois meilleurs amis + Hao Haidong) sont extrêmement en vue, ils apparaissent tous dans les médias publics.

Un autre élément important à prendre au sérieux est le soutien financier dont ce groupement pourrait bénéficier. Je dois dire que ce ne serait peut-être pas «beaucoup» de louer 4 avions et un hélicoptère pour faire flotter le drapeau et l’annonce, et aussi d’acheter du temps d’antenne à Times Square pour annoncer leur «formation» pendant qu’ils faisaient les retransmissions en direct de la proclamation et faire ce «bruit», d’après une annonce en chinois faite hier (3 juin 2020) par Miles Kwok, il dit apparemment avoir investi massivement dans ses différentes plateformes médiatiques sous l’égide de sa société Guo Media ( https://www.guo.media/ )

 

 

Un bon article de RT pour comprendre EN PARTIE la polarisation artificielle entre les USA et la Chine :

Nouvelle guerre froide : L’Aigle et le Dragon

Ancien haut fonctionnaire, chercheur en philosophie politique et observateur des relations internationales, Bruno Guigue décrypte les véritables ressorts de la crise sans précédent qui oppose la Chine et les États-Unis.

La propagande anti-Pékin déchaînée aux États-Unis a conduit le chef de la diplomatie chinoise à dénoncer « certaines forces politiques américaines qui prennent en otage les relations entre la Chine et les États-Unis et poussent nos deux pays au bord d’une nouvelle Guerre froide ». Une saillie inhabituelle qui intervient peu de temps après la déclaration de Donald Trump dans laquelle il accusait le gouvernement chinois d’avoir commis une « tuerie de masse » en laissant se propager le Covid-19. La critique mutuelle entre Pékin et Washington n’est pas une nouveauté, mais l’innovation sémantique dont témoigne la riposte chinoise n’est pas anodine. Franchissant un nouveau cap symbolique, cet échange verbal se situe en effet à la rencontre de deux tendances contradictoires.

La première, c’est la radicalisation idéologique de la présidence Trump. Élu pour redresser l’économie en inversant la tendance à la désindustrialisation, le locataire de la Maison Blanche sait que le bilan qu’il va présenter aux électeurs en novembre prochain n’est pas enthousiasmant. Le déficit commercial avec la Chine a diminué en 2019, mais c’est après avoir augmenté au cours des deux années précédentes. Avec la récession économique, le déficit budgétaire atteindra des sommets inégalés. La gestion calamiteuse de la pandémie et ses 100 000 morts seront portés au passif de l’administration actuelle. Bref, Trump est aux abois, et il lui faut impérativement avoir recours à une ficelle aussi vieille que la politique : la désignation d’un bouc-émissaire.

Pour jouer ce rôle malgré lui, Pékin est tout trouvé. Après tout, le nouveau virus est supposé venir de Chine (même si c’est de moins en moins sûr), et il suffit de l’appeler « virus chinois » pour instiller dans l’opinion l’idée absurde que la Chine est coupable. Personne n’aurait songé à commettre ce genre d’amalgame lors des crises précédentes (VIH, Sras, Ebola, H1-N1, vache folle, etc.) mais l’Amérique est par essence le pays où rien n’est impossible. Ayant proféré tout et son contraire, félicité la Chine et l’OMS avant de les stigmatiser, moqué les mesures de protection et appelé les anti-confinement à manifester les armes à la main, Donald Trump a fini par exiger une indemnisation de Pékin pour compenser l’effet désastreux de sa propre incurie, voire, et c’est encore plus grave, de son indifférence au sort des victimes.

Car les États-Unis, il faut le rappeler, sont l’un des rares pays où l’on a ouvertement recommandé de privilégier la croissance économique sur la santé publique. Lorsque le vice-gouverneur du Texas a dit qu’il fallait sacrifier les vieux à l’économie, il a révélé la pensée profonde d’une oligarchie qui noie toute considération humaine « dans les eaux glacées du calcul égoïste », comme disait Marx. Profond mépris pour les faibles, eugénisme néolibéral dont on voit le résultat aux États-Unis, où l’hécatombe qui frappe les Afro-Américains les plus âgés en dit long sur une société vermoulue. Que l’espérance de vie moyenne y régresse et que les pauvres n’aient pas accès aux soins est sans importance. Pour Washington, la cause est entendue : c’est la faute de ces communistes chinois qui ont toujours le mensonge à la bouche, alors que l’Amérique est un pays dont les dirigeants, animés d’une foi inébranlable dans la démocratie, disent toujours la vérité au bon peuple.

Or cette radicalisation d’un Donald Trump en état d’hystérie pré-électorale, manifestement, vient percuter la montée en puissance d’une Chine qui n’a pas l’intention de tendre la joue gauche. Ce pays a longtemps adopté sur la scène internationale un profil bas qui recoupait l’inflexion de sa politique économique : il fallait attirer dans le pays les capitaux et les technologies qui lui faisaient défaut. La Chine s’est donc mise en congé de la politique internationale pour se consacrer à son propre développement. Elle a joué le jeu de la globalisation des échanges en renonçant à toute initiative susceptible de froisser l’Occident. Mais cette époque est aujourd’hui révolue. Depuis 2014, elle est la première puissance économique mondiale si l’on calcule le PIB en parité de pouvoir d’achat. Elle a accumulé du capital à des hauteurs vertigineuses, accompli des prouesses en matière d’innovation, construit des équipements colossaux et noué des partenariats tous azimuts.

Il n’y a aucun exemple dans l’histoire où un tel accroissement des capacités matérielles d’un pays ne transfuse d’une manière ou d’une autre dans la sphère géopolitique. C’est aujourd’hui le cas du « pays du milieu ». Cet empire sans impérialisme ne fait aucune guerre depuis 40 ans, il n’inflige aucun embargo à personne et ne finance aucune organisation subversive dans aucun pays. Le principe sacro-saint de sa politique étrangère tient en deux mots : respect de la souveraineté nationale. La Chine s’interdit de se mêler des affaires des autres et ne tolère aucune ingérence étrangère dans les siennes. Toute intrusion dans ses affaires intérieures, à Hong Kong ou au Xinjiang, sera combattue sans ménagement. La Chine entend aussi respecter ses engagements à l’égard de ses alliés : lorsque Washington prive de médicaments les enfants vénézuéliens, la Chine en livre aussitôt des dizaines de tonnes à Caracas. On sait bien ce que vaut la diplomatie des droits de l’homme à l’occidentale, et celle de la Chine soutient fort bien la comparaison.

Ce qui rend notre époque passionnante, c’est qu’elle voit le croisement périlleux du déclin américain et de la poussée chinoise. Nous sommes entrés dans une zone de turbulences dont il y a deux façons de sortir. Soit par une aggravation des tensions qui aura pour effet de relancer la course aux armements. C’est la stratégie de Trump, et ceux qui le considèrent comme l’adversaire de « l’État profond » oublient qu’aucun président n’a mieux servi le complexe militaro-industriel, mais cette militarisation des relations internationales ne mène nulle part. La guerre avec la Chine n’aura pas lieu car elle signifierait la destruction mutuelle. Les États-Unis ne la font de préférence qu’à plus faible qu’eux, et même dans ce cas ils trouvent le moyen de la perdre. Cette stratégie ne mènera pas non plus à la paix car la militarisation se fait toujours au préjudice du développement, et c’est ce qui risque de nourrir les conflits du futur.

L’autre façon de sortir de l’affrontement actuel, c’est de laisser le temps travailler en sa faveur. Ce sera évidemment la stratégie chinoise. Après tout, les bouledogues de Washington peuvent bien aboyer autant qu’il leur plaira. L’essentiel, c’est le mouvement qui s’effectue en profondeur, loin de cette agitation de surface chère aux démocraties, loin de cette politique-spectacle dont elles raffolent. Tandis que les Occidentaux sont aliénés au court terme, les Chinois excellent dans la gestion du temps long. Leur stratégie visera avant tout l’évitement du conflit de haute intensité. Elle n’empêchera pas l’expression des différends mais elle inhibera leur dégénérescence en lutte armée. A quoi bon précipiter les choses quand l’évolution du monde rogne les prérogatives d’un empire déclinant ? Cette stratégie du mûrissement compte sur « les transformations silencieuses », pour reprendre l’expression du philosophe François Jullien. Elle laisse lentement venir au lieu de chercher à prendre un avantage immédiat. Sachant que le basculement du monde est irréversible, la Chine prendra son parti des crises de nerf d’une Amérique en perte de vitesse. Ce sera la longue patience du Dragon face à la vaine impétuosité de l’Aigle.

 

 

Note ExoPortail :

Petit explicatif de l’infiltration Jésuites / Noblesse Noire / Rothschild en Chine : 

L’empereur Qing Kangxi a invité les jésuites en Chine :

Lien en Anglais : https://www.chinahighlights.com/travelguide/china-history/emperor-kangxi.htm

Au début du XIXe siècle, les Rothschild ont pris le contrôle de la Chine par le biais des guerres de l’opium :

Lien en Anglais : https://www.zerohedge.com/news/2015-02-16/hsbc-bank-secret-origins-laundering-worlds-drug-money

Les familles chinoise du Dragon Rouge ont été contraints de garder un profil bas, mais déguisés en société secrète des Huit Trigrammes, ils ont quand même réussi plus tard à organiser la rébellion des Boxers, une tentative de chasser les Jésuites et les Rothschild de Chine :

Lien en Anglais : https://www.britannica.com/event/Boxer-Rebellion

Les Rothschild, cependant, ont resserré leur emprise sur la Chine au XXe siècle :

Lien en Anglaishttps://www.henrymakow.com/china_power_elite_are_illumina.html

La plupart des informations contenues dans l’article ci-dessus sont correctes, sauf que Tchang Kaishek n’a en réalité jamais soutenu la Cabale, mais plutôt les Dragons.

Ici, quelques explications sont nécessaires. Les triades ne travaillent PAS pour les Dragons, mais surtout pour la Cabale. Cependant, de nombreux agents des Dragons ont infiltré les triades et récemment, certaines ou même la plupart des triades peuvent ou non aider secrètement au renversement de la Cabale :

Lien en Anglais : https://rense.com/general77/chinsec.htm

Les Rothschild ont toujours un contrôle assez important sur la Chine continentale, avec de nombreux agents infiltrés dans la structure gouvernementale, avec leur base d’opération à Hong Kong. Cependant, ces derniers temps, les familles chinoise du Dragon Rouge apportent un soutien tactique au gouvernement chinois pour éliminer les infiltrations des Rothschild.

Macao est la base d’opérations de la noblesse noire et des jésuites en Chine. Henry Breakspear ( noblesse noire ), le chef d’une importante lignée d’Archonte, vit à Macao.

Taiwan est la base d’opérations de nombreuses familles de familles des Dragons positif. Ils ont été forcés de quitter la Chine continentale après la révolution communiste.

Les familles du Dragon Rouge ont pour but est de vaincre leurs ennemis jurés, les Jésuites et les Rothschild. Ils sont de vaillants protecteurs et gardiens de la justice.

 

 

A relier avec les informations récentes de Cobra ( ici et ici pour l’intégral ) : 

Les tensions et le potentiel de violence vont s’accroître au cours des deux prochaines semaines aux États-Unis et dans le monde entier. Les forces obscures pourraient tenter d’utiliser cette configuration astrologique, et le nouveau cycle solaire qui vient de commencer, pour faire monter en flèche la situation aux États-Unis et tenter d’organiser une guerre entre la Chine et l’Inde, Hong Kong ou Taïwan, ou tout autre conflit majeur :

«La Chine va attaquer Taïwan s’il n’y a pas d’autre moyen de l’empêcher de devenir indépendante, a déclaré vendredi l’un des plus hauts généraux du pays, dans une escalade rhétorique visant l’île démocratique que Pékin revendique comme la sienne.

S’exprimant dans le Grand Hall du peuple de Pékin à l’occasion du 15e anniversaire de la loi anti-sécession, Li Zuocheng, chef du département d’état-major conjoint et membre de la Commission militaire centrale, a laissé la porte ouverte à l’utilisation de la force.

« Si la possibilité d’une réunification pacifique est perdue, les forces armées du peuple prendront, avec toute la nation, y compris le peuple de Taiwan, toutes les mesures nécessaires pour briser résolument tout complot ou action séparatiste », a déclaré Li.

« Nous ne promettons pas d’abandonner l’usage de la force, et nous nous réservons la possibilité de prendre toutes les mesures nécessaires, pour stabiliser et contrôler la situation dans le détroit de Taiwan », a-t-il ajouté.

Bien que la Chine n’ait jamais renoncé à l’usage de la force pour mettre Taïwan sous son contrôle, il est rare qu’un officier supérieur en service fasse une menace aussi explicite dans un cadre public.» Source 

 

 

Selon des sources des familles Dragon et du mouvement de la Résistance, la Cabale a un plan pour fuir les États-Unis vers la Chine et s’y cacher après la guerre civile aux États-Unis, dans un mouvement similaire à ce qui s’est passé avec les nazis dans l’opération Paperclip après la deuxième guerre mondiale. Les sources des familles Dragon affirment que ce plan et l’infiltration sombre du côté chinois sont en train d’être démantelés en ce moment même par les éléments positifs des familles Dragon et la faction positive au sein de l’armée chinoise.

Une autre sources des familles Dragon a communiqué que si la Chine tente d’attaquer Taïwan, elle publiera TOUS les documents secrets sur ce que l’armée chinoise fait à Lop Nor, y compris le volet extraterrestre et le programme spatial secret, par le biais des principaux médias chinois.

 

Conclusion : 

Cette proclamation Jésuite de «l’État fédéral de la Nouvelle Chine» sert donc à la fois de «Polarisation à deux jambes» pour déstabiliser encore davantage les USA et la Chine mais également d’établir un nouveau QG pour leur fuite espérée après avoir orchestré la guerre civile aux états-unis : https://exoportail.com/emeutes-aux-usa-decryptage-du-plan-jesuite/

 

Source : https://nypost.com/2020/06/03/mysterious-new-federal-state-of-china-banners-seen-over-nyc/https://www.foxbusiness.com/lifestyle/what-is-the-new-federal-state-of-chinahttps://defensepoliticsasia.com/federal-state-of-new-china/https://www.smh.com.au/world/asia/chinese-general-threatens-attack-on-taiwan-to-stop-independence-20200529-p54xux.html

Traduction et Ajouts : ExoPortail


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1 Commentaire

  1. Je ne vois pas Trump s’ engager dans une guerre contre la Chine Les Américains ont besoin de la Chine : usine du Monde ! Un nouvel Etat himalayen ? A cote du Bouthang ….du Tibet?….pourquoi faire ? ….l’ élite mondialiste a déjà ASTANA ville franc maconne sibérienne construite de toute pièces avec des bâtiments futuristes aux symboles maçonniques….l’ oligarchie mondialiste cherche refuge sur le  » toit du Monde » Megalos et paranoïaques !! .

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