La cabale utilise la situation du covid-19 pour faire avancer ses plans de «monnaies numériques mondiales» et soustraire le cash au peuple

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Cet article sous forme de revue de presse est la troisième partie d’un dossier plus large exposant les plans de la Cabale pour un totalitarisme de monnaies numériques utilisant la technologie Blockchain.

 

La partie 1Le Bitcoin et la Blockchain sont une création de la NSA pour contrer les BRICS et leur système financier basé sur l’or : https://exoportail.com/le-bitcoin-et-la-blockchain-sont-une-creation-de-la-nsa-pour-contrer-les-brics-et-leur-systeme-financier-base-sur-lor/

La partie 2 : Exposition du plan Jésuite pour 2020 : effondrement financier mondial en janvier puis instauration des cryptomonnaies comme substitut : https://exoportail.com/exposition-du-plan-jesuite-pour-2020-effondrement-financier-mondial-en-janvier-puis-instauration-des-cryptomonnaies-comme-substitut/

 

 

6 Février 2020 : Un coup de pouce majeur à l’économie numérique ? La Chine autorise la succession des bitcoins :

 

La Chine élabore actuellement une législation visant à protéger les droits de succession des cryptomonnaies. Suite aux résultats de deux sessions tenues à Pékin, un projet de premier code civil du pays a été adopté, réglementant les relations juridiques entre les citoyens, les questions de mariage, les relations familiales, ainsi que les droits de succession.

La Chine a récemment adopté un code civil très attendu qui élargit la portée des droits de succession pour y inclure la cryptomonnaie, comme le bitcoin.

Le code précise que les droits de succession s’appliquent aux biens physiques et virtuels.

Jusqu’à présent, la Chine n’avait pas de code civil unique ; les relations civiles étaient régies par des lois et règlements individuels. Certaines d’entre elles ne correspondaient pas à la nouvelle réalité. Par exemple, les droits de succession ne s’appliquaient clairement qu’aux biens physiques et tangibles, tandis que l’espace numérique humain restait dans la «zone grise».

 

23 Mars : La Chine va déployer un réseau blockchain dans 100 villes :

En avril, le gouvernement chinois et plusieurs grandes banques et entreprises de technologies lanceront conjointement un réseau permettant de créer et héberger des applications blockchain.

Baptisée Blockchain-based Service Network (BSN), le réseau ambitionne de réduire de 80% les coûts des activités basées sur la blockchain, rapporte Spectrum, un média édité par l’Institut des ingénieurs en électricité et électronique.

En plus d’offrir la possibilité de créer des applications à bas prix (- de 300$), le BNS aidera aussi les entreprises à concevoir et gérer leurs propres plateformes blockchain, notamment grâce à des frameworks pré-conçus.

Contrairement aux blockchains publiques comme Bitcoin, le BSN est une blockchain « autorisée » sur laquelle les participants décident qui peut, et qui ne peut pas accéder aux informations.

On apprend toutefois que le gouvernement détiendrait la « clé racine » du BSN, ce qui lui permettrait de surveiller toutes les opérations passées sur le réseau.

L’alliance BSN devrait lancer son réseau blockchain le mois prochain avec un total de 100 nœuds répartis dans une centaine de villes et espère, d’ici la fin de l’année, étendre le réseau à 200 nœuds.

 

22 Avril 2020 : La Banque des Pays-Bas souligne les bénéfices d’une monnaie numérique de banque centrale (CBDC) à laquelle elle consacre une étude détaillée. Elle se dit en outre prête à jouer un rôle moteur en Europe en cas d’expérimentation :

Les banques centrales européennes poursuivent leur montée en compétences sur la question des monnaies numériques. En février, la Suède lançait par exemple un pilote pour sa monnaie nationale (e-krona). Le mois dernier, c’est la banque d’Angleterre qui ouvrait un débat public sur la CBDC.

La banque centrale des Pays-Bas mène elle aussi ses propres travaux. Elle vient d’ailleurs de livrer un rapport détaillé sur la monnaie digitale de banque centrale. La DNB (De Nederlandsche Bank) y détaille les objectifs, conditions préalables et choix de conception d’un tel instrument monétaire.

Celle-ci indique à ce titre que les Pays-Bas sont prêts à jouer un rôle de premier plan en Europe. Ils « constituent un terrain d’essai approprié pour une telle expérimentation » conclut la banque centrale néerlandaise.

 

 

25 avril 2020 : La Chine met en place un test de monnaie numérique dans quatre villes, des entreprises occidentales testent :

Après que le coronavirus a provoqué la fermeture de la plupart des entreprises et des villes chinoises, le pays riposte maintenant avec force en lançant une monnaie numérique et une Blockchain nationale.

La banque centrale de Chine, la Banque populaire de Chine, a commencé à tester sa nouvelle interface numérique en yuan le 14 avril dernier avec l’une de ses plus grandes banques, la Banque agricole de Chine, qui a mis en place une interface utilisateur test. Deux semaines plus tard, un projet pilote a été lancé. Dix-neuf restaurants et établissements de détail, dont des chaînes de restaurants occidentales populaires comme Starbucks, McDonald’s et Subway, participent au test, rapporte Bitcoin.com. Le test a lieu dans au moins quatre villes de Chine – Shenzhen, Suzhou, Chengdu et Xiong’an, selon la banque centrale chinoise qui a confirmé au Wall Street Journal le test de son nouveau Yuan numérique officiellement appelé «Digital Currency Electronic Payment (DCEP)».

La Chine n’est pas le premier pays à tester une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC), un consortium de banques a testé l’argent liquide numérique en 2016 dans un test de Wall St, qui n’a pas eu beaucoup de succès. La Chine n’est pas non plus le seul pays à développer une monnaie numérique, le Royaume-Uni en développe une également, rapporte le CoinTelegraph. Outre le Royaume-Uni, les États-Unis, la Russie et l’Inde, pour ne citer que quelques pays, envisagent également de lancer leur propre CBDC, ou fiat cryptomonnaie. La BRI déclare que l’avenir est désormais inévitable dans un PDF de janvier de cette année, compilé à partir d’une recherche menée auprès de plus de 50 banques centrales interrogées et intitulé : «Arrivée imminente – une suite à l’enquête sur la monnaie numérique des banques centrales».

Le résultat indique que «80 % des banques centrales se sont engagées dans une sorte de travail de développement de la monnaie numérique, tandis que 40 % sont passées de la recherche conceptuelle à l’expérimentation ou à la preuve de concept, et 10 % ont mis en place des projets pilotes».

 

14 Mai 2020 : Visa présente une demande de brevet pour une blockchain en dollars :

L’Office américain des brevets et des marques (USPTO) a publié aujourd’hui que Visa a déposé une demande de brevet pour créer de la monnaie numérique sur un ordinateur centralisé en utilisant la technologie Blockchain. Ce brevet s’applique aux dollars numériques ainsi qu’aux autres monnaies numériques des banques centrales telles que la livre, le yen et l’euro, de sorte que la monnaie physique d’une banque centrale puisse être numérisée partout dans le monde.

Décrit comme «Digital Fiat Currency», le brevet a été initialement déposé par Visa le 8 novembre 2019, et l’USPTO a publié aujourd’hui le commentaire suivant : «Il faut un certain temps…» pour publier le dépôt d’un brevet. Le brevet de Visa est décrit comme un ordinateur central qui reçoit des demandes comprenant le numéro de série et la dénomination d’une monnaie physique. La création de la monnaie numérique et le retrait de la monnaie physique de la circulation dans un système de monnaie fiduciaire sont enregistrés sur une Blockchain.

«Visa dispose d’une vaste équipe mondiale d’inventeurs et d’innovateurs qui travaillent sur les technologies de paiement de pointe. Chaque année, nous déposons des brevets pour des centaines de nouvelles idées», déclare un porte-parole de Visa. «Bien que tous les brevets ne débouchent pas sur de nouveaux produits ou de nouvelles fonctionnalités, Visa respecte la propriété intellectuelle et nous travaillons activement à la protection de notre écosystème, de nos innovations et de la marque Visa».

J. Christopher Giancarlo, conseiller juridique principal chez «Willkie Farr and Gallagher» et ancien président de la «Commodity Futures Trading Commission américaine», a commenté le brevet de Visa déposé auprès de l’USPTO : «Cela confirme que lorsque les États-Unis font de grandes choses comme le programme spatial et l’Internet, il existe des partenariats entre le secteur privé et le secteur public. Ce dépôt de brevet est la preuve que le secteur privé est très actif dans le domaine de l’avenir de la finance».

Le Congrès a examiné l’idée d’un dollar numérique lors du débat sur la loi CARES, le troisième programme d’aide COVID-19. Bien que le dollar numérique n’ait pas été inclus dans la législation finale, des projets de loi distincts ont été présentés à la Chambre et au Sénat qui visent à créer légalement un dollar numérique à la Réserve fédérale et un portefeuille de dollars numérique au Trésor américain. Le dollar numérique a été suggéré pour fournir des avantages de stimulation économique et éventuellement un revenu de base universel aux Américains.

Le résumé complet du brevet déposé par Visa est décrit comme suit : «Des techniques sont divulguées, notamment la réception, par un ordinateur de l’entité centrale, d’une demande de monnaie numérique. La demande comprend un numéro de série et une dénomination d’une monnaie physique. L’ordinateur de l’entité centrale génère la monnaie numérique pour la dénomination et est lié au numéro de série». Le brevet de Visa poursuit en disant : «La génération comprend l’enregistrement de la monnaie numérique sur une blocchain. L’ordinateur de l’entité centrale transmet une notification de la génération de la monnaie numérique. L’ordinateur de l’entité centrale provoque le retrait de la monnaie physique de la circulation dans un système de monnaie fiduciaire». Une image du dépôt de brevet est présentée ci-dessous.

 

Crypto et Blockchain Ventures de Visa :

Visa a déjà fait des annonces importantes, en gardant un œil sur l’écosystème des cryptomonnaies et des Blockchain. L’année dernière, Visa a été initialement annoncée comme membre de la nouvelle association Libra établie par Facebook jusqu’à son retrait en octobre, avec un certain nombre d’autres sociétés. En juin de l’année dernière, Visa a également annoncé qu’elle entrait sur le marché des transactions transfrontalières interentreprises (B2B) de 125 000 milliards de dollars en utilisant la technologie des registres distribués pour rendre les paiements plus rapides, moins chers et plus transparents. La Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication, ou SWIFT, une organisation belge créée en 1973 avec 11 000 institutions financières, dessert actuellement 11 000 institutions financières effectuant des transactions interentreprises, mais SWIFT a été critiquée pour ses anciens systèmes et son inefficacité.

De plus, en février de cette année, Visa a annoncé qu’elle avait accordé la permission à Coinbase, un échange de monnaie cryptographique, leur permettant d’émettre une carte de débit où les individus peuvent passer leur crypto par le biais de la carte.

 

 

21 Mai 2020 : La Banque de France teste la blockchain pour la monnaie digitale de banque centrale :

Le 14 mai, la Banque de France a réalisé un premier test avec la Société Générale Forge sur une blockchain développée en Interne. Ce test s’inscrit dans une démarche d’expérimentation de la monnaie digitale de banque centrale (CDBC) de gros.

Les expérimentations de la Banque de France en matière de monnaie numérique de banque centrale (CDBC) ont franchi une nouvelle étape. Un premier test a ainsi été mené en partenariat avec un acteur bancaire, Société Générale Forge.

La BdF indique en effet avoir réalisé, « avec succès », un test le 14 mai. La banque centrale s’est pour cela appuyée sur une blockchain privée développée par ses équipes. Cette blockchain est donc exploitée spécifiquement pour l’utilisation d’une monnaie digitale de banque centrale

Grand intérêt de l’industrie bancaire pour une CDBC de gros :

L’expérimentation menée en mai a consisté à « régler une émission de titres financiers numériques effectuée par Société Générale Forge » précise la Banque de France. D’autres tests suivront au cours des prochaines semaines.

La BdF annonce en effet de futures expérimentations « en coopération avec d’autres acteurs. » Ces tests grandeur nature font suite à l’appel à candidatures ouvert le 27 mars 2020 pour « expérimenter l’usage d’un euro digital de banque centrale dans les règlements interbancaires. »

La banque centrale souligne en effet mener des travaux exclusivement autour d’une CDBC « de gros ». Celle-ci se distingue d’une monnaie digitale de détail, c’est-à-dire accessible également aux particuliers.

Une CDBC de détail est d’ailleurs à l’étude au sein de la BCE, rappelait très récemment Yves Mersch, membre du directoire de la banque centrale. « Une CBDC de détail, accessible à tous, changerait la donne. C’est pourquoi nous nous concentrons désormais sur une monnaie numérique de banque centrale de détail » justifiait-il.

 

3 Juin 2020 : La pandémie est l’occasion de réinitialiser l’économie mondiale, selon le prince Charles :

La relance après la crise du coronavirus représente une opportunité de relancer l’économie mondiale et de donner la priorité au développement durable sans nuire davantage à la planète, a déclaré le prince Charles lors de l’ouverture d’une réunion virtuelle du Forum économique mondial (FEM).

Le prince a souligné que le secteur privé serait le moteur de la reprise et s’est dit encouragé par les engagements pris par les chefs d’entreprise de reconnaître les dommages causés à l’environnement qui résulteraient d’une course effrénée à la croissance.

« Nous avons une occasion unique, mais qui se réduit rapidement, de tirer des leçons et de nous remettre sur une voie plus durable », a déclaré Charles, qui s’est lui-même remis après avoir souffert de légers symptômes de Covid-19.

Il a ajouté que la pandémie, qui a forcé les gouvernements du monde entier à mettre en veilleuse leurs économies, a montré aux gens qu’un changement radical était possible.

« Nous avons une occasion en or de saisir quelque chose de bon dans cette crise. Ses ondes de choc sans précédent pourraient bien rendre les gens plus réceptifs aux grandes visions de changement », a-t-il ajouté.

 

 

10 Juin 2020 : Des distributeurs automatiques Coca-Cola acceptent le paiement en crypto :

Plus de 2000 distributeurs de boissons du géant Coca-Cola permettent désormais un paiement en crypto-monnaie, dont Bitcoin et Ether. La marque s’associe avec l’intégrateur d’actifs numériques Centrapay et le wallet Sylo.

Les crypto-monnaies auraient-elles cessé d’effrayer les marques de grande consommation ? Dans le domaine des boissons, Coca-Cola occupe invariablement la première marche du podium. Sa filiale australienne, Coca-Cola Amatil n’en accueille pas moins favorablement Bitcoin et autres crypto-monnaies.

La multinationale, premier producteur de boisson en Asie-Pacifique avec 270 millions de consommateurs, propose à présent une nouvelle option de paiement sur ses distributeurs. Au travers d’un porte-monnaie électronique, Coca-Cola accepte en effet les règlements en crypto-monnaie.

Paiement électronique en Bitcoin via le wallet Sylo :

Au total, ce sont donc plus de 2000 distributeurs de boissons du réseau Coca-Cola Amatil en Australie et en Nouvelle-Zélande qui supporteront ce mode de paiement en actifs numériques. Le client doit pour cela disposer sur son smartphone Android ou iOS de l’application Sylo Smart Wallet.

Celle-ci propose différentes fonctionnalités liées à la gestion de l’identité numérique, mais bien sûr également de ses crypto-monnaies pour des paiements ou transferts sur de multiples blockchains. Le règlement d’une boisson dans un distributeur Coca-Cola s’effectue grâce à un QR Code présent sur la machine.

Le consommateur sélectionne le produit sur le distributeur, puis lors de l’étape de paiement il ne lui reste plus qu’à scanner le QR Code via son porte-monnaie électronique. Pour proposer cette nouvelle option d’achat, Coca-Cola s’est associé à Centrapay.

L’entreprise se présente comme un acteur de la démocratisation des actifs numériques grâce à la blockchain et la tokenisation. Il intervient ainsi sur l’intégration technique entre les systèmes des marchands et des applications client.

Démocratiser les actifs numériques et nouvelle relation client

Centrapay permet ainsi à Coca-Cola de connecter ses distributeurs de boissons à l’appli mobile Sylo Smart Wallet, et d’accéder à des données client. La marque, en fonction du consentement des utilisateurs, peut collecter des informations sur l’identité des acheteurs.

«Nous travaillons à créer un avenir où les individus seront maîtres de leurs propres données et de leur identité numérique. Les marques peuvent établir un lien direct et éthique avec les individus, en leur donnant les moyens de prendre la bonne décision d’achat, tout en soutenant leurs partenaires de vente au détail et de distribution,» souligne le PDG de Centrapay, Jerome Faury.

Le spécialiste des actifs numériques a démarré le développement de ses activités dans le Pacifique, et plus particulièrement en Australie et en Nouvelle-Zélande. Il a depuis débuté son implantation en Amérique du Nord, où il espère faire croitre son activité commerciale.

 

 

Juin 2020 : La «Grande Réinitialisation» : un sommet unique pour débuter 2021 :

La «Grande Réinitialisation» sera le thème d’un sommet unique qui aura lieu en janvier 2021, et qui sera convoqué par le Forum Économique Mondial. Le sommet se tiendra à la fois en présentiel et virtuellement, et mettra en relation les principaux dirigeants gouvernementaux et les chefs d’entreprises à Davos avec un réseau mondial de participants présent dans 400 villes du monde entier pour un dialogue tourné vers l’avenir et animé par la jeune génération.

L’annonce de la «Grande Réinitialisation» a été faite par le Prince de Galles et Klaus Schwab lors d’une réunion virtuelle.

Leurs déclarations ont été soutenues par les voix de tous les groupes d’acteurs de la société mondiale, notamment Victoria Alonsoperez, fondatrice et directrice générale de Chipsafer, Uruguay, et membre de la communauté des «Young Global Leader» ; Caroline Anstey, présidente et directrice générale de Pact, États-Unis ; Ajay S. Banga, directeur général de Mastercard, États-Unis ; Sharan Burrow, secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale (CSI), Bruxelles ; Ma Jun, président du Green Finance Committee de la China Society for Finance and Banking et membre du comité de politique monétaire de la Banque populaire de Chine ; Bernard Looney, directeur général de bp, Royaume-Uni ; Juliana Rotich, associée, Atlantica Ventures, Kenya ; Bradford L. Smith, président, Microsoft, États-Unis ; et Nick Stern, président, Grantham Research Institute on Climate Change and the Environment, Royaume-Uni.

 

 

Conclusion :

En plus des deux première parties évoquées en début d’article, le dernier point évoqué à savoir «la grande réinitialisation» est absolument corrélée avec cette information de Cobra en date de novembre 2013 :

«Le programme des Jésuites est d’infiltrer l’Alliance de l’Est avec ses agents et de détourner le processus de création du nouveau système financier vertueux à venir. Inutile de dire que les dirigeants de l’Alliance de l’Est en sont conscients et ne le laisseront pas faire. En outre, les membres supérieurs de la Société du Dragon Blanc ont appris leur leçon après que leurs prédécesseurs ont été trompés il y a des décennies quand ils ont remis une grande partie de leur or aux agents jésuites pour des morceaux de papier sans valeur (obligations du gouvernement américain). Les Dragons blancs sont beaucoup plus prudents maintenant, d’autant plus que les Jésuites tentent de les infiltrer par l’intermédiaire de Te-Wu, l’agence secrète chinoise de renseignement.
Le plan jésuite est de laisser les forces de Lumière purger la faction Illuminazi (Rockefeller, Bush, Kissinger, Cheney & Co, Clinton etc.) puis de faire secrètement équipe avec les Rothschild pour reprendre le processus de création du nouveau système financier. Leurs agents sont présents lors des négociations interminables pour la reddition de la Cabale et ils essaient de rapprocher les accords de l’agenda jésuite. C’est la source des propositions pour faire du Pape le nouveau M1 (contrôleur monétaire). C’est la raison pour laquelle le nouveau Pape jésuite promeut l’idée d’une banque centrale mondiale.
Ils envisagent aussi sérieusement l’idée d’autoriser un jubilé mondial de la dette pour qu’ils soient dépeints comme des sauveurs de l’humanité sous les apparences d’une église catholique «bienveillante». Ils feraient alors la promotion du culte catholique d’une manière renouvelée et plus attrayante pour le public, et y intégreraient graduellement d’autres religions (à commencer par le bouddhisme) jusqu’à ce qu’ils atteignent leur objectif d’un culte mondial de programmation de l’esprit religieux, tout en gardant sous le tapis les atrocités passées de l’Église catholique.
Grâce à des programmes spéciaux compartimentés de la CIA, ils ont infiltré le «mouvement de la vérité» au point qu’environ 80 % des informations diffusées dans les médias alternatifs proviennent directement ou indirectement de sources jésuites.
Il est bon de savoir que l’organisation jésuite est une création de la famille Farnese avec l’aide de la famille Borja dans les années 1540. La famille Farnese est l’une des familles les plus puissantes de la noblesse noire papale en Italie et travaillent pour maintenir le statut de quarantaine de la planète Terre.»

 

Source : https://www.forbes.com/sites/jasonbrett/2020/05/14/visa-submits-patent-application-for-digital-dollar-using-blockchain/#47552b305b63 / https://sputniknews.com/business/202006031079496556-major-boost-to-digital-economy-china-allows-bitcoin-inheritance/https://nz.news.yahoo.com/prince-charles-coronavirus-pandemic-chance-192428735.htmlhttps://www.activistpost.com/2020/04/cv-1984-china-rolls-out-test-of-digital-currency-in-four-cities-western-businesses-testing.htmlhttps://cryptonaute.fr/le-roi-cash-est-mort-la-banque-des-pays-bas-vante-la-cbdc/https://cryptonaute.fr/la-banque-de-france-teste-la-blockchain-pour-la-monnaie-digitale-de-banque-centrale/https://cryptonaute.fr/chine-reseau-blockchain-100-villes/ / https://cryptonaute.fr/des-distributeurs-automatiques-coca-cola-acceptent-le-paiement-en-crypto-monnaie/https://fr.weforum.org/press/2020/06/la-grande-reinitialisation-un-sommet-unique-pour-debuter-2021 et http://www.economiematin.fr/news-fmi-grand-reset-economie-systeme-changement-annonce-historique-sannat

Article d’ExoPortail


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2 Commentaires

  1. En Suisse nous avons déjà des distributeurs alimentaires et boissons chaudes dont nous pouvons payer par cartes bancaires, même pas besoin de l’insérer, il suffit juste de passer sa carte devant le détecteur prévu à cet effet et c’est débité directement du compte bancaire. Donc plus besoin de petite monnaie pour prendre son café ou son sandwich…ça a déjà commencé..

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