Agriculture BIO : comprendre les dessous d’un business ( 2 Articles en 1 )

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Bonjour,

Tout au long de cet article, Res Communis révèle, sous un autre angle, les faces cachées du BIO. Il s’agit ni plus ni moins d’un prolongement de l’article Pesticides toxiques : la face cachée de l’agriculture biologique., publié le 02 mai 2017.

A ce stade, vous pourriez vous questionner sur les intentions du site et vous dire : « Mais pourquoi donc s’attaquer au BIO ? ». La réponse est simplissime : parce que certains faits doivent être rapportés. Si vous êtes un lecteur assidu du site, alors vous connaissez pertinemment notre point de vue. En effet, notre position est la suivante. Dire que le BIO est mieux que le conventionnel, à tous les niveaux, est indéniable, mais de là à dire que le BIO est l’idéal … certainement pas.

Avant d’entamer la lecture du présent article, compreniez bien que l’objectif du site est de vous informer sur des enjeux vitaux dont vous n’entendriez pas parler ailleurs. Pour rappel, sachez encore que l’honnêteté et l’objectivité sont les deux valeurs sur lesquelles se base le site Res Communis. Informer et aider, et non divertir et amuser, telles sont les vraies motivations du site.

Pour devenir maître de sa santé, il est bon de savoir ce que les autres ignorent.

Comme le disait Coluche, « ce n’est pas parce qu’ils sont beaucoup à avoir tort qu’ils ont forcément raison ». Ce qui est certain, en termes de nutrition, c’est que la société moderne mène tout le monde en bateau pour maximiser es profits. Ici, sur Res Communis, on s’investit véritablement pour VOUS aider et pour VOTRE santé.

Que vous soyez intrigués, curieux ou intéressés par l’intitulé du sujet … joignez-vous à nous et vous en ressortirez mieux informés.

Maintenant, trêve d’avant-propos et place au sujet du jour !

 

Petit rappel concernant le BIO

Très simplement, l’Agriculture biologique promeut un mode d’agriculture dépourvu au maximum de produits « chimiques » et visant à revenir à des pratiques plus naturelles (ex : la jachère).

Toutefois, connaissez-vous l’historique de ce terme ? Si ce n’est pas le cas, sachez qu’il est vraiment récent dans la mesure où il n’a même pas 70 ans d’existence. En effet, il est apparu au début des années 50. Il fût créé pour lutter contre le système de production agricole « chimique » (car usage de produits de synthèse), qui s’était alors progressivement installé depuis le 19ème siècle .

En règle générale, les agriculteurs labellisés « BIO » sont tenus de respecter un cahier des charges plus ou moins strict pour conserver leur(s) label(s), dont le fameux label AB. Voici les grandes obligations inhérentes au BIO :

  • Utilisation de produits (engrais) d’origine naturelle ;
  • Interdiction quasi-totale, sauf exception, d’intrants d’origine chimique ;
  • Élevages peu intensifs, rotation modérée des cultures, etc. de façon à préserver la richesse des sols (reconstitution naturelle).

En agriculture BIO, il est obligatoire de fertiliser via l’apport de substances d’origine organique, animale ou végétale, tous répertoriés sur une liste.

 

Agriculture biologique … une sémantique imparfaite !

Connaissez-vous la définition des termes « agriculture » et « biologique » ? En se penchant dessus, on apprend beaucoup de faits très utiles.

Chez Larousse, on désigne l’agriculture comme étant « l’ensemble des travaux dont le sol fait l’objet en vue d’une production végétale ». Des travaux ? Ah, donc on parle de torturer la Terre, n’est-ce pas ? Malheureusement, c’est bien le cas. Le mot « travail » dérive effectivement du latin « tripalium » qui désignait autrefois un instrument de torture. Donc, faire des travaux dans le sol, c’est lui faire mal. N’oubliez pas que la surface de la Terre, sur laquelle nous vivons, est peuplée d’innombrables espèces et que la vie y est plus qu’omniprésente.

Toujours pour Larousse, biologique est « relatif à la production de denrées naturelles non traitées chimiquement ». Mais cette définition est absolument incomplète puisqu’elle devrait stipuler, à l’origine même, l’absence d’intervention de l’Homme.

Avec un tant soit peu de bon sens, il est aisé de comprendre que ce n’est pas le grand amour entre les mots « agriculture » et « biologique ». Pourtant, on les associe fréquemment. D’un côté, le terme « agriculture » fait part de l’exploitation de la surface de la Terre par l’Homme. De l’autre côté, le terme « biologique » fait part du processus naturel, donc sans intervention humaine, par lequel un aliment voit le jour.

Ainsi, sémantiquement parlant, peut être dit « biologique » tout aliment « sauvage », à savoir un aliment ayant poussé dans la plus lointaine nature et dépourvu d’action de l’Homme. Dans cette dernière, il aura été en mesure de développer ses propres défenses, dans un milieu hostile qui plus est. Enfin, il aura aussi évolué sans la moindre pollution chimico-atmosphérique.

Donc, c’est une aberration d’annoncer que des aliments produits en masse dans des champs dépourvus de pesticides sont BIO.

 

Au cœur du bio, le conseil de l’UE

A chaque fois qu’on entend parler du BIO, on entend des gens vanter des cahiers des charges soi-disant très stricts, respectueux d’autrui et de l’environnement, dont on ne connaît finalement rien.

En réfléchissant un peu, la question suivante coule de source. D’où vient le cahier des charges de l’agriculture biologique et son application est-elle toujours réglementaire ?

Puisque nous vivons le plus parfait des mondes, où le bien-être général est la priorité (ironie), il est vraisemblable de se dire que cette question va probablement soulever quelques problèmes. Et, effectivement, énormément de faits sont tus … ce qui es consternant. Explications…

Le cœur de l’agriculture est régi par un règlement européen. Il s’agit du « règlement (CE) n° 834/2007 du conseil du 28 juin 2007 relatif à la production biologique et à l’étiquetage des produits biologiques et abrogeant le règlement (CEE) n° 2092/91 »

Pour faire simple, le règlement (CE) N° 834/2007 c’est : « l’ensemble des règles à suivre concernant la production, la transformation, la distribution, l’importation, le contrôle et l’étiquetage des produits biologiques ».  Il est enrichi par des règlements d’application, en particulier le règlement (CE) n° 889/2008.

 

Est-ce que le BIO l’est réellement dans 100% des cas ?

En réalité, le bio est (et peut être) très éloigné de ce qu’on peut imaginer. D’ailleurs, voici d’excellents passages d’un article du Huff Post intitulé « Les produits labellisés agriculture biologique sont-ils vraiment bio ? » et écrit en 2012.

  1. Il ne suffit pas qu’un produit porte la mention « bio », pour que celui-ci soit bio. La mention « bio », qu’on peut trouver sur certains jus de fruits ou dans des soupes par exemple, indique seulement qu’une partie du produit est issue de l’agriculture biologique. Pour savoir dans quelle proportion, jetez un œil sur l’étiquette. Pour qu’un produit soit véritablement bio, celui-ci doit avoir été produit dans certaines conditions qui peuvent varier en fonction des différents labels.
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  2. Le label AB garanti que 95% des ingrédients d’un produit sont issus de l’agriculture biologique. […] Depuis 2009, les règles définissant le label AB sont alignées sur celles de l’Union européenne. Elles restent strictes et autorisent la présence de traces d’OGM s’ils constituent moins de 0,9% du produit. Le label AB garantit le respect des règles françaises et européennes et la certification placée sous le contrôle d’un organisme agréé par le pouvoir public.
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  3. Non [le label AB ne garantit pas que le produit soit d’origine française]. Si, c’était le cas avant, ça ne l’est plus maintenant. Les règles européennes étant harmonisées, tout produit en provenance de l’UE peut porter le label AB. Celui-ci devrait progressivement disparaître pour laisser place au label européen, qui sera bientôt le plus répandu.
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  4. En France, le label AB est délivré par l’Agence Bio, qui est une agence gouvernementale.

 

Le trafic de produits BIO

Toujours selon l’article du Huff Post, on se rend compte qu’il y a beaucoup à redire concernant le trafic de produits BIO. Voici d’autres très bon passages de l’article « Les produits labellisés agriculture biologique sont-ils vraiment bio ? ».

  1. [A propos des produits « BIO » hors UE] C’est là que le bât blesse. Si le produit est originaire d’Europe, alors pas de problème. Les contrôles sont stricts, les certifications sont fiables et les règles unifiées dans l’Union. En revanche, si le produit provient de l’extérieur de l’UE, il peut avoir été certifié par un organisme étranger à l’UE où les règles sont moins strictes et porter le logo agriculture biologique de l’Union, une fois entré sur le territoire.
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  2. [Existe-t-il des faux produits « BIO » ?] Oui. Les autorités retirent régulièrement de la vente des produits estampillés bio sur lesquels des traces de pesticides ont pu être retrouvées. Début 2012, c’est même tout un trafic de produits bio entre la Roumanie et l’Italie qui avait été démantelé. Les trafiquants achetaient des céréales issues de l’agriculture conventionnelle en Roumanie, les ré-emballaient et leur faisaient obtenir une fausse certification biologique en Italie, avant de les écouler dans toute l’Europe. Mafia, producteurs mus par l’appât du gain, certificateurs corrompus, cette affaire rappelle que tout n’est pas rose dans le monde de l’agriculture biologique.

 

Conclusion

Selon l’article du Huff Post, on apprend également que les consommateurs d’aliments BIO sont bien moins exposés aux pesticides. En 2003, l’AFSSA (désormais ANSES) a rassemblé et évalué l’ensemble des données disponibles sur le sujet, dans un rapport intitulé « Évaluation nutritionnelle et sanitaire des aliments issus de l’agriculture biologique ». Sur la base de près de 300 articles scientifiques, l’AFSSA en a conclu que le bio était globalement bien plus riche en nutriments et antioxydants … mais pas tous les produits.

Ainsi, comme vous avez pu le constater à travers cet article, le BIO est loin d’être exempt de tout reproche mais demeure, néanmoins, bien mieux pour votre santé que le conventionnel.

 

Prenez soin de vous. A bientôt.

 

Source : https://www.rescommunis.net/agriculture-bio-comprendre-dessous-du-business/

 

Pesticides toxiques : la face cachée de l’agriculture biologique :

 

Bonjour,

Savez-vous que l’Agriculture biologique utilise des pesticides ? Malheureusement, beaucoup de gens l’ignorent encore. A l’instar d’autres sujets, soit vous êtes inondés de fausses informations soit vous en entendez nullement parler. De ce fait, beaucoup de gens prennent des décisions sans connaître les tenants et les aboutissants de leurs choix. Aujourd’hui, Res Communis se penche, pour vous, sur les pesticides de l’Agriculture biologique.

Enquête …

 

Biologique vs Conventionnel, une bataille à coups de pesticides

De prime abord, beaucoup ont tendance à dire que « le BIO ne contient aucun pesticide ». Toujours intuitivement, nombreux sont ceux avançant que « l’unique différence entre le Bio et le conventionnel réside dans l’emploi, ou non, de pesticides ».

Que l’on soit clair là-dessus, tout ceci est faux. La grande majorité de la filière biologique emploie des pesticides, tout comme le secteur conventionnel. La différence entre les deux réside dans un cahier des charges des pesticides plus strict du côté de l’Agriculture biologique.

D’ailleurs, l’Article 16 paragraphe 1 du règlement européen (CE) n°834/2007 est l’article autorisant les pesticides en Agriculture Bio : « La Commission, conformément à la procédure visée à l’article 37, paragraphe 2, autorise l’utilisation dans la production biologique et inclut dans une liste restreinte les produits et substances susceptibles d’être utilisés, en agriculture biologique, […] »

L’Annexe I, alinéa (9), du règlement européen (CE) n°889/2008 autorise clairement l’introduction d’animaux OGM dans l’Agriculture Bio : « Dans certaines circonstances, les opérateurs peuvent éprouver des difficultés à se procurer des reproducteurs issus de l’agriculture biologique, en raison d’un capital génétique limité, ce qui pourrait entraver le développement du secteur. Il convient donc de prévoir la possibilité d’introduire un nombre restreint d’animaux non issus de l’agriculture biologique dans une exploitation à des fins de reproduction. »

Des pesticides dangereux dans le Bio

Et oui, les solutions phytosanitaires sont aussi inscrites dans le cahier des charges de l’agriculture biologique. Il faut dire que le listing des produits employés est souvent méconnu des gens, car il est plutôt bien caché.

Pour rappel, « les produits phytosanitaires désignent les préparations contenant une ou plusieurs substances actives, ayant pour action de : 1) Protéger les végétaux ou produits végétaux contre tout organisme nuisible ; 2) Exercer une action sur les processus vitaux des végétaux (régulateur de croissance) ; 3) Assurer la conservation des végétaux ; 4) Détruire les végétaux indésirables » (Règlement (CE) n°1107/2009 – Article 2-1)

Parmi les produits phytosanitaires employés, on trouve l’azadirachtine (huile de neem), le Deltaméthrine, l’endosulfan (utilisé dans le Bio d’Espagne), les pyréthrines, le soufre, le spinosad, le sulfate de cuivre et l’oxychlorure de cuivre.

En cliquant sur le nom des pesticides énoncés ci-dessus, vous aurez accès à la fiche détaillée, pour chacun d’eux, de leur toxicité. L’organisme canadien de référence, SAgE, classe la toxicité en trois grandes parties. La première est la « toxicité chez les mammifères incluant l’homme ». La deuxième est la « toxicité pour les espèces non ciblées ». Enfin, la dernière est nommée « devenir et comportement dans l’environnement ».

 

Les vins biologiques, tous contaminés au cuivre

Les vins, ce sont un peu les faucheurs de vie. Dans les vins « conventionnels », un article publié par Que Choisir datant d’octobre 2013 et intitulé Des pesticides dans les vins montrait que les taux de pesticides dans les vins étaient jusqu’à plus de 3 000 fois supérieurs à la norme de potabilité de l’eau. L’Association de consommateurs révélait aussi que plus de 20% des échantillons étaient contaminés par des pesticides interdits.

Dans les vins biologiques, une enquête menée par Agriculture & Environnement a révélé que la totalité des 29 vins testés présentaient des résidus de cuivre. A&E a sélectionné des vins de toute la France, sur une période d’un mois. Voici les trois conclusions que l’organisme tire de cette enquête.

« Première constatation : le pourcentage de contamination change en fonction de la précision de la Limite de Quantification (LQ). En effet, nos échantillons de vins bio contaminés au cuivre passent de 31% à 100% selon le choix de la LQ. Autrement dit, pour trouver, il suffit simplement de chercher…

Deuxième constatation : en utilisant une LQ dix fois supérieure à celle utilisée en routine pour les pesticides de synthèse, on retrouve des résidus du principal fongicide employé en bio dans la totalité des échantillons. Les résidus de cuivre sont donc bien plus présents dans les vins bio que ne le sont les pesticides de synthèse dans les denrées issues de l’agriculture conventionnelle.

Troisième constatation : il n’y a pas de différence de quantités entre le cuivre détecté dans les vins bio (0,033 à 0,67 mg/l, avec une moyenne de 0,16 mg/l), et ce que l’on peut trouver en termes de produits phytosanitaires de synthèse dans les produits issus de l’agriculture conventionnelle. »

Conclusion

Dans cet article, l’objectif n’était pas de faire le procès du Bio. Non, le but était de faire brièvement le point sur des faits scrupuleusement caché par le lobby agro-alimentaire. Si le Bio est indéniablement mieux que le conventionnel, il est faux de croire que c’est l’idéal. Comme vous avez pu le constater, tout n’est pas clair. De plus, la contamination aux pesticides est loin d’être terminée.

Dans un futur article, Res Communis vous expliquera comment il est possible de manger sans le moindre résidu de pesticides dans son assiette.

 

Merci pour votre attention.

A bientôt.

 

Source : https://www.rescommunis.net/pesticides-toxiques-face-cachee-du-bio/

8 Commentaires

  1. Merci pour cet article, je suis totalement d’accord, d’ailleurs je connais un jeune qui fait actuellement une formation dans l’agriculture bio, il est écoeuré…
    J’ai entendu dire que tremper quelques minutes nos fruits et légumes dans du bicarbonate de soude, enlèverait une grande partie de ces pesticides, vrai ou faux ?

    Même si hors sujet, tout en étant souvent la résultante de toute cette malbouffe, je me permets de transmettre ce lien que je trouve assez intéressant pour lutter contre les cancers de façons hors système… 😉 :
    http://lavienaturelle.net/resources/CANCERS+$C3$A9dit+21+-+Michel+Dogna.pdf
    On y découvre notamment combien il est très important de se vermifuger, etc…

    • michel dogna, intéressant mais gros gros businesseur! attention! il vante les produits que vend … sa fille! il est très décrié si ce n’est conspué par certains!

  2. Merci pour ces infos biens détaillées, il est évident que se nourrir bio est essentiel pour notre santé même s’ il n’est pas à 100%, par contre je me pose des questions sur la pollution atmosphérique, les épandages chemtrails, les particules fines carburants etc etc, pour toutes les cultures en plein air qui sont la majorité par rapport aux cultures sous serres, sans parler de l’irrigation avec les nappes phréatiques polluées, sans êtres trop pessimiste qu’en pensez vous??? NAMASTE TAO.

    • Bonjour,

      Le label certifie qu’au moins 95% du contenu d’un aliment est BIO. Toutefois, ce label laisse la porte ouverte jusqu’à 0,9% d’OGM également … prenant effectivement en compte la pollution « externe » (atmosphérique, pollinisation, etc…)

      En revanche, il existe deux labels, à savoir Nature&Progrès et Biocohérence, certifiant que le produit est 100% BIO, cultivé le plus naturellement du monde et dépourvu de la moindre trace de pesticide.

      Mangez 100% BIO, évitez de consommer les peaux (des fruits ou légumes BIO) et apprenez ce qu’il y a à savoir en achetant le pack « changez de vie » proposé par Res Communis … incluant un accès illimité aux 3 e-books à succès du site.

      Voici le lien : https://www.rescommunis.net/categorie-produit/ebooks/

      Merci pour votre commentaire. Contactez-nous à l’adresse mail suivante pour toute autre question : rescommunis@ntymail.com

      Bien à vous,

      Res Communis

      • merci pour les infos! de toute façon, Hulda Clarke, célèbre chercheuse elle aussi assassinée, disait qu’il faut peler les fruits et légumes, non seulement à cause des éventuels pesticides mais aussi à cause des aflatoxines( je ne me rappelle plus de l’orthographe) bref très dangereuses pour la santé; il y en a aussi beaucoup dans tout ce qui est ensaché sous vide et sous plastique ,même bio! elle préconisait pour lutter contre ces « moisissures » invisibles, de saupoudrer de vit C, style acérola, en poudre, toute nourriture!

      • Je rajoute aussi l’excellent label Demeter pour l’agriculture agrodynamique 100% bio aussi. Pour moi, le meilleur label existant mais je ne connais pas biocohérence je vais aller regarder de plus près. Merci !

    • je me pose les mêmes questions ! et je pense qu’à l’heure actuelle il vaut mieux manger des légumes et fruits de serres !! un peu mieux à l’abri des chemtrails et autres! acheter sur les marchés aux petits producteurs bio! le gros souci, ils utilisent la main d’œuvre gratuite que leur fournit pôle- emploi! sous prétexte de « stages d’apprentissage », en perma par ex, ( qui doivent même payer leur nourriture au patron alors qu’ils ont fait 8 h de travail courbé! )ils utilisent aussi beaucoup le « woof » ou woofing, des gens qui sont logés et nourris en échange de travail! bref l’esclavage moderne! la bio pose vraiment des problèmes d’éthique alors que la conventionnelle paie ses employés! c’est fort!!!! les « biocoops » ne sont plus des coops depuis longtemps et ont des prix hors de prix! en supermarché, le bio, je m’en méfie! les produits sont de toute façon irradiés, à rungis; dans toutes les boutiques, avec les code-barres, ils repassent à un scan, je pense dangereux aussi…. on est cernés!!!

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