Adoption du «Pacte mondial pour les Migrations» : Dernière tentative de déstabilisation européenne ?

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Comme on s’en doutait, le pacte mondial sur les migrations de l’ONU a été formellement approuvé à Marrakech ce 10 décembre par des représentants de plus de 150 pays (sur les 193 pays représentés à l’ONU). On va essayer ici de faire ressortir les «points les plus hostiles» et ainsi qu’une explication démontrant que le texte est déjà «mort-né» et difficilement applicable. Le document officiel est disponible à la fin de l’article pour le soumettre à votre propre vérification.

L’idéologie qui sous-tend le texte est claire : à l’heure de la mondialisation, l’ONU voit dans les migrations un facteur de «prospérité, d’innovation et de développement durable», et souhaite donc mettre en place une meilleure gouvernance afin d«’optimiser ces effets positifs».

Dans l’optique de rendre les migrations «bénéfiques à tous», 23 objectifs ont été fixés, avec pour chacun d’eux, les mesures nécessaires à entreprendre pour les atteindre. Des mesures visant à protéger les migrants sont évidemment présentes, notamment dans l’objectif 9, qui prévoit de renforcer la lutte transnationale contre le trafic de migrants, ou encore l’objectif 10 qui vise à éliminer la traite de personnes.

Encourager l’immigration plutôt que la contrôler :

Mais le texte comporte de nombreux autres aspects, qui tendent à encourager l’immigration plutôt qu’à la contrôler. Ainsi dans l’objectif 5, les signataires s’engagent à ménager des options et des filières de migration régulière, accessibles et plus souples, «pour faciliter la mobilité de la main-d’œuvre». Un point qui revient sous diverses formes et tient une place centrale dans le pacte : l’objectif 18 appelant par exemple les Etats à trouver des solutions pour «faciliter la reconnaissance mutuelle des qualifications et compétences des travailleurs migrants».

Le texte appuie en outre sur la nécessité de mettre en œuvre des politiques globales pour favoriser la pleine intégration des migrants et la cohésion sociale. Et ainsi défendue l’idée de sociétés inclusives, où de l’école au «centre ou programmes communautaires», des outils sont mis en place pour que les migrants puissent devenir des membres actifs de la société.

Pour les y aider, le pacte demande aux Etat d’organiser le «regroupement familial» et de fournir aux migrants les mêmes droits à la «sécurité sociale et aux services sociaux» que les nationaux. Le marché du travail ne doit bien entendu pas déroger à la règle, et se doit de promouvoir «la pleine participation des travailleurs migrants à l’économie formelle».

«Faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues» :

Bien qu’il ne soit pas encore entré en vigueur, l’ONU a visiblement conscience que l’idéologie défendue dans son pacte risque de se heurter à une partie de la population. C’est pourquoi dans l’objectif 17, les Etats signataires s’engagent à «éliminer toutes les formes de discrimination, et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues».

Les Etats ont donc le devoir de «condamner et contrer» les actes de racisme, de discrimination ou encore d’intolérance envers les migrants, par la voie judiciaire mais aussi un exerçant un contrôle de l’information. Il est ainsi de leur responsabilité de promouvoir une «information indépendante, objective et de qualité, y compris sur Internet».

Comment y parvenir dans un Etat ou la presse est libre ? «En sensibilisant les professionnels des médias aux questions de migration et à la terminologie afférente, en instituant des normes déontologiques pour le journalisme et la publicité et en cessant d’allouer des fonds publics aux médias qui propagent l’intolérance, la xénophobie, le racisme et les autres formes de discrimination envers les migrants», exige, sans ciller, le pacte. Mais que l’on se rassure, le tout, «dans le plein respect de la liberté de la presse».

 

Le texte est-il déjà mort-né ?

Ce pacte onusien n’est pas parvenu à faire l’unanimité auprès de l’ensemble des Etats qu’il visait. Ainsi, plusieurs pays ont choisi de se retirer du pacte après avoir approuvé le texte le 13 juillet dernier à New York, y voyant une entrave à leur souveraineté.

L’autriche : 

L’Autriche s’est inquiétée de l’atténuation de «la distinction entre migrants légaux et illégaux» qu’il met œuvre, et s’est alarmée qu’il puisse, à terme, établir un nouveau droit international contraignant ou «qui puisse être interprété comme tel»

Les états-unis :

Après les Etats-Unis, qui l’ont rapidement jugé «incompatible» avec leur politique migratoire et la souveraineté nationale américaine, plusieurs états européens ont annoncé qu’ils ne signeraient pas le texte.

La Hongrie :

La Hongrie du Premier ministre Viktor Orban a qualifié cet accord qui encourage des flux de personnes, de «dangereux».

 

En Belgique et en Allemagne, des formations politiques majeures y sont fermement opposées, compliquant la tâche des gouvernements qui y sont favorable. Et pour finir, la suisse, la République tchèque, la Bulgarie et la Pologne, Slovaquie et Israel ont dans la foulée annoncé prendre leurs distances avec le pacte.

 

En somme et vu de l’aspect «juridiquement non contraignant» de ce texte comme il est écrit au point numéro 7 du préambule :

7. Le présent Pacte mondial établit un cadre de coopération juridiquement non contraignant, qui repose sur les engagements convenus par les États Membres dans la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants. Il favorise la coopération internationale en matière de migration entre tous les acteurs compétents, sachant qu’aucun État ne peut gérer seul la question des migrations, et respecte la souveraineté des États et les obligations que leur fait le droit international.

Ce texte ne concernera que les gouvernements collabo et encore pantin de la Cabale (état profond) et pourra pas être une politique globale. Sur ce point c’est déjà un échec et leur tentative aurait dû voir le jour il y a 5 ans quand le peuple européen n’était pas aussi réfractaire. De plus même au sein des pays encore gouverné / trop infiltré par les forces mondialistes ce nouveau plan de déstabilisation européenne va se voir confronter à la gronde déjà présente au sein de la population et des partis d’oppositions.

À moins de droguer le peuple sous drogue «Oxytocine» ça va être compliqué !

 

Pour terminer sur une note positive; au moins la sœur cadette, Véronique Levy,  de Bernard-Henri Lévy qui s’est détourné du judaïsme pour le catholicisme, ce qui rend fou son frère :

 

Cette même véronique dénonce ce même «pacte de l’immigration» :

 

Ainsi que son soutien au Gilets Jaunes :

 

 

Le texte officiel :

Un extrait en image :

 

L’intégralité du document : 

 http://undocs.org/fr/A/CONF.231/3

 

Source : RT + Ajouts personnels


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2 Commentaires

  1. Ils est à constater, que les migrants en Europe, sont des hommes jeunes sans femmes, ni enfants, en Amérique à la frontière du Mexique, aussi, ils sont le cheval de Troie du Nouvel ordre mondial pour détruire les Nations, ils se serviront des réseaux dormants GLADIO, pour les armes, dont ils se serviront contre les peuples, selon la devise Ordo ab chao, à l’occasion d’un krach mondial, les monnaies fiduciaires disparaîtront, laissant place à des monnaies électroniques, qui neutraliseront entièrement la dissidence, ensuite viendra la puce, mais avant la guerre civile, pour éliminer les peuples d’Europe, qui seront entièrement remplacés, par les nihilistes et les athées du plan Albert, Pike, franc-maçons du 33 e degré.

  2. Bonjour,

    Avec ce pacte international sur les questions migratoires, une fois de plus l’ONU et les pays, Etats nations et autres appellation de ces enclaves territoriales administrées sur la même planète que l’on nomme Terre, est une aberration dont on prend les dispositions une fois de plus par le mauvais bout, même si le pacte laisse penser que pour une fois l’on s’occupe de l’humain, ce qui n’est qu’un leurre et une fausse apparence, puisque le pacte ne se préoccupe pas vraiment des pays d’accueil et des êtres humains qui y vivent déjà.

    Ainsi premièrement, il serait souhaitable que l’on fasse un état des lieux des ressources minières, pétrolières, gazières, des réserves et ressources en eau potable, des forêts, etc et que l’on répartissent globalement à l’ensemble de tous sur la planète Terre ses ressources et surtout les profits colossaux que dégage la vente de ces matériaux.

    Cela implique de ne plus déstabiliser des gouvernements, d’avoir une politique mondiale vraiment efficiente, tout en laissant chaque état et peuple s’autodéterminer sur ces choix dans tous les domaines que se soit.

    Peut-être qu’il n’y aurait pas de monnaie mondiale ou peut-être que si, tout en acceptant que certains Etats souhaitent conserver leur autonomie monétaire, mais en instaurant des règles claires appliquées par tous en matière monétaire.

    Une fois ces règles ci-dessus instaurées, l’on assisterait inévitablement à une diminution des conflits et ceux restant pourraient ou devraient être réglé par la diplomatie et non par les armes et d’ailleurs les armées deviendrait superflue, mis une structure armée afin de nous défendre d’entités non terrestre et exogènes.

    Ainsi enfin il n’y aurait plus de nécessité de devoir signer un pacte mondial concernant les flux migratoires.

    Bien à vous.

    Thierry Poget

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